ALLEZ TOUS VOUS FAIRE FOUTRE BANDE D ENCULES DE MERDE , MA PINE DE RETHAIS ELLE EXISTE , SI JE VOUS ENCULE VOUS LA SENTIREZ PASSER , AU NOM DE TOUS CES HABITANTS , QUI TRIMENT POUR RESTER SUR UNE TERRE QU ILS AIMENT ET QUE VOUS TRAITEZ COMME DES CONS , JE VOUS EMMERDE ARRETEZ DE FUMER CA VOUS METTRA LES IDEES AU CLAIR , BANDES DE MERDES AU NOM DES RETHAS JE VOUS BOTTE LE CUL !!! imon <babarinou@hotmail.com> (4.07.2007)

Tous ces témoignages prouvent l'existence d'une anomalie, d'une aberration, je dirais même d'une anormalité de l'île de Ré. Mais les preuves manquent. Il faut que la Terre entière sache que l'île de Ré n'existe pas afin de sauver des millions de vies humaines (au moins 15 000...). C'est pour cette raison que ma thèse de socio-endocrino-influençologie traite de l'île de Ré. L'île ou la non-île ? J'ai soutenu ma thèse devant un jury difficile à captiver et encore plus à convertir : Des Réhâs et Réthais, des publicitaires, un Irlandais, deux ingénieurs de l'IGN et quelques scientifiques intéressés. Je ne peux malheureusement pas publier ici ma thèse dans laquelle les images sont indispensables à la compréhension, mais je vous invite à venir la lire : reanimation.discutforum.com Rubrique : réanimateur de Projet. Je suis désolé pour la propagande involontaire pour ce forum, mais afin de contrer la "non-menace" qu'est la "non-île", tous les moyens sont bon. (ceci dit, le forum est sympa, non ?) Je vous invite a réfléchir à des preuves convaincantes de la "non-existence" de l'île afin de pouvoir avertir le monde ignare. Pour l'essort de la Secte "AntiRé", pour que la vérité éclate au visage du monde, convertissons la planète et détruisons la fiction "Ré" ! Sébastien Olalde... <Vix_olalde@hotmail.com> (16.11.2006)

Mon témoignage antirétais : les rétais sont le mal absolu, on dit même que Vladimir Poutine et Yoko Ono en seraient originaires…de plus, ils ont des clochers d’église bicolores, des roses sans épines super moches et de longues pistes cyclables que mes parents m’ont forcé à parcourir à vélo étant petit, manquant par là-même des épisodes de DBZ cruciaux quand à la structure linéaire de l’histoire (j’ai longtemps cru que c’était Songroku qui avait tué Cell et Poivre en fait pas du tout c’est Songrohane), pistes jonchées de charognes diverses (lapins, chats, hérissons, etc). Percy le Preux <serguei.novalevski@laposte.net> (15.09.2006)

c'est avec une certaine émotion que je prends connaissance de votre site chere gouroute ; voyant que vous êtes tous des néophytes anti-rhéain j'men va vous expliquer comment qu'ca marche par chez nous: dès l'abord ya les soirées, ah les belles soirées dans la nuit d'été qui vont font marrer! les déhambulations pleines de vapeurs alcoliques , accroché aux multiples comptoir en zinc, comme on sait bien les faire par chez nous, faut voir çà, faut expérimenter çà, et pis , bien bourré comme il se doit, on fonce à la côte, par la belle nuit d'été comme j'vous ai raconté plus haut, y fait y pas beau et chaud qu'on s'en va à l'eau, ya des phosphorescences plein la mer à c't'heure, c'est pas un non enchantement moi j'vous en parle !!après on rentre en voiture , et c'est au prochain rond point qu'les flics étaient là , souffler dans l'ballon m'sieur dames , cellule de dégrisement 15 mois de retrait de permis. bon faut dire c'est des détails , sur l'ile ya quand m^me eu des belles soirées allez à pluche sur Réééééééééééé§ véro <quenirov@aol.fr> (27.03.2006)

C'est dans un certain trouble que je chosis aujourd'hui, cher gourou, de vous écrire. En effet, de par mon statut particulier, je ne sais plus vraiment où j'en suis. Depuis ma plus tendre enfance, mon lieu d'habitation, l'Île de Ré, puisqu'il faut la nommer, et Rivedoux-Plage, plus particulièrement, m'ont toujours semblé... louches. Ce mot, qui peut sembler barbare a votre esprit supérieur et omniscient est celui qui, pour le mien, qualifie au mieux cette excroissance terrestre ambiguë qu'est mon île, ou plutôt devrais-je me résigner à l'appeler... non-île. Louche, donc, mais pourquoi ? Et bien, cette première prémonition m'est apparue à l'âge de 10 ans. Je fréquentais alors assiduement l'école primaire de Rivedoux-Plage, dans laquelle bien des phénomènes qui n'auraient jamais du se produire se sont bel et bien produits. Les enfants, tout d'abord, avaient tous une forte propension à imaginer des choses que jamais un enfant ne devrait imaginer, du style : "si ça se trouve, la porte vers le monde parallèle qu'on cherche depuis des années se trouve dans les remparts qui entourent Saint-Martin !" L'absurdité de ce genre de pensées ne peut-être issue que de non-esprits, vous en conviendrez. Mais plus louche encore... L'école, ou du moins la non-école, était dirigée par un directeur-dictateur nommé M. V***. Jusque là, rien de bien étrange, me direz-vous. Tous les directeurs sont des despotes refoulés, qui, faute de pouvoir affirmer leur pouvoir sur l'humanité toute entière, le font sur une communauté de gamins de moins de 12 ans. Mais ce fameux M. V*** avait de bien mauvaises habitudes qui ne pouvaient être dues qu'à la fréquentation ultra-régulière de la non-île : ses mains avaient tendance à pourrir, au même titre que la barrière en bois qui séparait sa maison de l'école, laissant ainsi son immense chien courir après les pauvres enfants. M. V*** avait aussi des habitudes qui témoignaient de sa non-existence : il se curait les dents avec un stylo bic, ce qui laissait des traces bleues sur sa dentition blanche, écrivait au vellada sur un tableau à craie, ce qui laissait des traces noires sur le tableau vert, et ignorait parfois ses élèves pendant toute une matinée, pretextant qu'il était fatigué. Le fait d'habiter sur la non-île, comme vous pouvez le voir, a eu des résultats catastophiques sur les enfants comme sur les plus âgés. Il y a des dingues partout, certes, mais d'autres faits confondants, que je cite pêle-mèle ci dessous ont contribué à me mettre la puce à l'oreille : - Disparitions de partitions de musique. - Disparitions de membres de Conseils Municipaux (notamment à Rivedoux et à Saint-Clément). - Disparitions de bouts de terre réguliers, notamment autour de la commune de Loix. - Disparitions de mauvais bulletins de note. - Impossibilité d'avoir des échanges humains avec les touristes, l'été. - Impossibilité d'avoir des échanges humains avec les réthas, l'hiver. - Apparitions de limites brouillardeuses prouvant l'existence d'un passage énigmatique sur le Pont, qui correspondrait selon moi aux limites du monde réél (le vrai) et du non-monde (l'île de ré). - Omniprésence de marchés et de boulangeries, mais en tout trois laveries dans toute l'île, et aucun centre commercial digne de ce nom. Ce sont les seuls exemples qui me viennent pour le moment à l'esprit, mais leur quantité me paraît révélatrice d'un évident mal-être. Tous ces faits louches m'ont ainsi toujours fait douter de l'existence de l'Île de Ré, et toujours j'ai eu, en foulant des pieds cette terre, ce sable, cette mer pourtant bien réels, le sentiment que quelque chose m'échappait, que dans l'air, dans le comportement des gens et des objets, il y avait quelque chose que l'on ne trouvait pas sur le continent, quelque chose de certes doux, mais aussi de niais et de profondément anti-philosophique. La découverte de votre site m'a permis de mettre au clair mes idées et, même si j'ai encore du mal à admettre la dure vérité, la phrase suivante s'est gravée dans mon esprit à jamais : l'Île de Ré n'existe pas. Je vous remercie de m'avoir lu jusqu'ici et attend votre réponse avec impatience. Je reste à votre disposition pour toute question éventuelle. Kant. Figeos <hephaiell@hotmail.com> (13.03.2006)

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